Ben voilà, ces temps-ci je m'interrêsse d'afreusement près au communisme ^^ je vous colle mes trouvailes à la gueule ^^ commençons par l'hymne de la grande solution Même mon pêre trouve que ç remplacerait très bien la marseillaise (donc validé par un adulte vous vou rendez compte ?
)(Non, mon pêre est pas communiste, c'est un tapette de gentil socialiste :3)
Puis une petite pub sur un site nomé "http://Jeunes-communistes.org"
Puis des infos sur le sujet.
Au niveau théorique, le
communisme est une conception de société sans classe, une organisation sociale sans État, fondée sur la possession commune des moyens de production et qui peut être classée comme une branche du socialisme ou plutôt « comme but »
[1] du socialisme.
Au niveau politique, le communisme désigne une variété de mouvements qui affirment chercher à établir à terme une telle société. Parmi les communistes, on trouve une considérable variété d'interprétations, principalement portées par les courants marxistes, mais aussi anarchistes et chrétiens. La première division s'est opérée entre anarchisme et marxisme au sein de la Première Internationale. Néanmoins, les courants communistes qui se sont le plus distingués par leur influence sur l'ordre politique mondial depuis le début du XX
e siècle sont d'influence marxiste, directement (
Manifeste du Parti communiste) ou indirectement (léninisme). La lutte des classes joue un rôle central dans la théorie marxiste (et également dans d'autres tendances communistes). L'établissement du communisme correspond dans cette théorie à la fin de toute lutte des classes, la division des êtres humains en classes sociales ayant disparu.
Karl Marx, défendant la nécessité de l'autonomie du mouvement ouvrier et de l'internationalisme, soutenait que la société ne pouvait d'un coup être transformée depuis le mode de production capitaliste vers le mode de production communiste. Elle nécessitait une période de transition que Marx a parfois décrit comme la période révolutionnaire de dictature du prolétariat. Dans le
Manifeste du Parti communiste, il définit le communisme comme « une association où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous
[2] ». La société communiste imaginée par Marx, émergeant d'un capitalisme largement développé, n’a jamais été établie, et demeure théorique.
Au niveau historique, le mot « communisme » est souvent utilisé pour désigner les régimes politiques et économiques gouvernés par des partis se réclamant du communisme. Certains de ces régimes se revendiquaient comme des « dictatures du prolétariat ».
La notion de communisme est très controversée et désigne souvent des réalités différentes selon les personnes qui l’utilisent. Le concept de communisme est l'objet d'un débat sémantique, selon deux axes qui interfèrent :
- divergence « interne », entre communistes revendiqués (qui peuvent s'opposer politiquement et théoriquement), divers courants s'attribuent le terme parfois à l'exclusion des autres ;
- divergence « externe », entre anti-communistes et communistes : les premiers rendent responsable l'idéologie communiste des désastres environnementaux, humains et sociaux ou des crimes de masse commis ou provoqués par les régimes communistes. Les seconds répondent qu'ils n'étaient pas liés à l'idéologie communiste et considèrent que ces États n'étaient pas communistes; pour eux, le communisme reste un projet de société qui n'a jamais été réalisé. Ils mettent ces crimes et désastres écologiques sur le fait du totalitarisme, du productivisme ou bien encore pour une partie d'entre eux sur le stalinisme et ses dérivés.
Communisme, marxisme, collectivisme [modifier]
- Sentiments parmi la population
On désigne parmi les premiers « marxistes » en France les Guesdistes comme Jules Guesde et Paul Lafargue qui ne se sont jamais d'ailleurs revendiqués comme marxistes ; contrairement et probablement aux Broussistes dans les années 1870 et à certains Hégéliens dans les années 1890
[5] et « autres amis de ce genre » dont Marx a dit : « je ne suis pas marxiste. ».
Marx critiqua ainsi les visions encore utopique de ces mouvements dont leur sentiment vont historiquement en France au socialiste Joseph Proudhon et au révolutionnaire Auguste Blanqui même parmi les Guesdistes ("marxistes français"). Par ailleur, vers la fin de sa vie, n'a-t-il pas dit de ces gendres que Longuet était le dernier des proudhonniens et de Lafargue le dernier des boukaninistes ? De plus, les guesdistes, trop enthousiastes de cette nouvelle pensée, prévoient contrairement à Karl Marx une victoire rapide et facile contre les méfaits du capitalisme. Ainsi, pour les autres socialistes, les guesdistes font preuve d'un messianisme parce qu'ils citent constamment Marx soit d'une manière trop simpliste, soit comme un prêtre citant la Bible.
Cependant, dans son
Introduction de la Guerre Civil, Engels écrit que la Commune de Paris a sonné le glas des écoles prudhonniennes et du blanquisme puisque ces élus, majoritaires, ont fait le contraire de leur pensée, c'est à dire essayer de construire selon Marx le Communisme ; et qu'à partir de 1891, « c'est maintenant la théorie de Marx qui y règne chez les « possibilistes » non moins que chez les « marxistes ». Ce n'est que chez les bourgeois « radical » qu'on trouve encore des prouddhonniens. ».
Ainsi, tandis que le proudhommisme eût perdu de l'influence, est-ce cependant la pensée marxiste qui prédomine dans les milieux ouvriers français ? Même avec la diffusion du marxisme par Guesde et Lafargue dans le prolétariat, c'est le sentiment anarchiste par "l'action directe" et la Propagande par le fait qui prédominent. Les événements de Fourmies en 1891 exalté par l'anarchiste Renard, les lois scélérates en 1893, la formation de la CGT en 1895 (dominé par des syndicalistes révolutionnaires libertaires) l'attestent.
Et, comme le dira, en 1896, Wilhelm Liebknecht dans ces
Souvenirs sur Marx: « Il n'y avait alors au sein de la classe ouvrière elle-même qu'une infime minorité qui se fût haussée jusqu'au socialisme ; et parmi les socialistes eux-mêmes, les socialistes dans l'esprit scientifique de Marx — dans l'esprit du manifeste communiste — n'étaient qu'une minorité. Le gros des ouvriers, dans la mesure où ils s'étaient éveillés à la vie politique en général, étaient encore plongés dans la brume des aspirations et des formules démocratiques sentimentales qui caractérisaient le mouvement de 1848 aussi que ses levers et baissers de rideau. ».
- Moyens politiques et collectivisme
Le communisme est souvent assimilé au mouvement marxiste.
Cependant, le marxisme n'est qu'une composante du communisme tout comme l'arnarchisme. Selon Jules Guesde, les marxistes se posent en « double qualité de communiste – comme but – et de collectiviste – comme moyen – »
[6].
Ces derniers se font appeler les collectivistes. En effet, dans son sens ancien, le communisme prescrivait la mise en commun de tous les biens. C'est par « collectivisme » qu'on désignait les doctrines de mise en commun des seuls moyens de production.
Cependant, «
Le collectivisme ne se distingue pas du communisme scientifique, tel qui est sorti de la critique maîtresse de Karl Marx. Si cette appellation a prévalu en France, c’est que, pour les besoins de notre propagande, il y avait lieu de nous distinguer des divers systèmes communistes qui, forgés de toutes pièces par des hommes de plus ou moins de bonne volonté ou de génie, versaient tous dans l’utopie. »
[7]Ainsi, peu après la commune de Paris en 1871, et jusqu'en 1917, les marxistes se sont désignés comme « collectivistes » et la majorité des anarchistes comme « communistes », du fait que le premier courant voulait utiliser un État dirigé par les travailleurs et la collectivisation comme outil de transition, au contraire du second qui voulait utiliser directement des moyens libres et autonomes pour atteindre le but recherché.
Cependant, selon le français Paul Lafargue le terme de « Collectivisme est un mauvais synonyme belge pour communisme. Le communisme a un passé historique et a eu pour représentants au début du siècle Owen et Fourier. En 1847, Marx et Engels ont publié le Manifeste communiste, document incomparable au XIXème siècle... Enfin, le mot ne fait rien l'affaire si nous propageons les idées du communisme. »
[8]voir aussi collectivisme politique; et économique
A travers l'histoire de Jules Guesde en 1885 et dans les années 1930 par le témoignage de Alexandre Zinoviev, l'expression qui au départ a été définie selon des valeurs du communisme par Karl Marx peut-être détournée dans sa forme, sa signification et son application.
En effet, « Marx usait, pour définir la société communiste, de la formule célèbre: "De chacun selon ses forces
[39], à chacun selon ses besoins." Les deux propositions sont indissolublement liées. "De chacun selon ses forces", cela signifie, dans l'interprétation communiste et non capitaliste, que le travail a cessé d'être une corvée, pour devenir un besoin de l'individu ; que la société n'a plus à recourir à la contrainte; que les malades et les anormaux peuvent seuls se dérober au travail. Travaillant selon leurs forces, c'est-à-dire selon leurs moyens physiques et psychiques, sans se faire violence, les membres de la communauté, bénéficiant d'une haute technique, rempliront suffisamment les magasins de la société pour que chacun puisse y puiser largement "selon ses besoins" sans contrôle humiliant. La formule du communisme, bipartite mais indivisible, suppose donc l'abondance, l'égalité, l'épanouissement de la personnalité et une discipline très élevée. »
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